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Cet ouvrage regroupe un ensemble de contributions scientifiques destinées à mieux appréhender, dans leur variété et leur complexité, les diverses recherches menées durant ces quarante dernières années autour de la cohésion et de la cohérence des textes notamment en France. Un accent particulier y est mis sur une conception renouvelée (M. Charolles, 1997) de la taxinomie des marques de cohésion discursives, qui propose de distinguer les marques de connexion des marques d’indexation. Les premières (anaphores et connecteurs) permettent d’établir des liens de cohésion discursive avec le cotexte amont. Les secondes, projectives, s’exercent vers le cotexte aval et permettent d’indexer des segments textuels potentiellement étendus en les regroupant au sein d’unités sémantico-pragmatiques que M. Charolles (ibid.) propose de nommer « cadres de discours ».
coherence --- cohesion --- connection --- indexation --- text
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Cet ouvrage examine la question de l’origine et du développement de l’esclavage dans l’Inde ancienne d’après certains textes en pàli et en sanskrit, en étudiant ensemble les éléments historiques, sociaux, économiques et politiques. Les sources principales sur lesquelles il se base sont les Vinaya et Sutta du canon Pāli le Nirukta de Yāska, le Mahābhāṣya de Patañjali, le Rāmāyaṇa et le Mahābhārata, l’Arthaśāstra de Kauṭilya. Il présente tout d’abord les études antérieures sur le problème de l’esclavage et sur l’esclavage en Inde, puis examine les antécédents de l’esclavage en Inde d’après les données fournies par la civilisation de l’Indus et le Ṛgveda, l’esclavage à l’époque du Buddha, les règles sur l’esclavage de Kauṭilya et l’esclavage d’après les épopées.
slavery --- ancient India --- literature --- pali --- society --- text
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« Pratique du traduire » est le titre d’un séminaire qui fait suite aux séminaires « Théorie » et « Critique du Traduire ». La distinction radicale entre les trois est évidemment partiellement factice, mais il fallait à la fois nommer chacun de ces séminaires et souligner une sorte de progression (souhaitée et souhaitable) dans l’apprentissage du métier de traducteur-traduisant, une fois admis que ce métier exigeait une formation : d’abord se familiariser avec la problématique (on ne traduit pas une langue, mais une littérature en langue ; la littérature traduite doit conserver en français ses caractéristiques, nous ne sommes pas là pour produire du bon français fluide), ensuite apprendre à lire des textes traduits en tant que textes traduits (ce que ne fait presque jamais la critique), enfin, sur la base de traductions existantes, écrire. Dans tous les cas, et c’est l’aspect le plus déroutant de la méthode pratiquée à l’Inalco et l’École de traduction littéraire du CNL, on travaillera sur diverses langues, indépendamment du savoir des apprenants. Il n’est pas nécessaire de connaître chaque langue pour savoir lire et corriger (modestement) un texte traduit. Il faut et il suffit de le traiter en tant que texte traduit, quels qu’aient été les choix du traducteur, même si son objectif – hélas trop fréquent encore – était de gommer ou d’effacer l’acte de traduire. Ce livre ou manuel, est le résultat d’une posture de traducteurs, c’estàdire le résultat des réflexions croisées de traducteurs enseignants d’une part, d’autre part le désir de faire des participants au séminaire, à leur tour, des traduisants. Ces réflexions sur des pratiques (que les champs littéraires embrasses peuvent rendre très hétérogènes) ne nous ont pas conduit à proposer un catalogue de réponses, de trucs et astuces ou une boite à outils. Il s’agit d’une série de questionnements soulevés par la pratique des textes (le traducteur est, avec l’auteur, le seul à connaitre le livre mot à mot), destinés à aiguiser un regard, une attitude. Le futur traducteur sera donc appelé à développer une démarche proche sur la base d’enquêtes collectives. Rien ne serait plus éloigné de notre pensée que d’imaginer en arriver à une solution unique. Mais nous nous refusons tout autant à en inférer que tout est relatif, tout est équivalent, que toutes les solutions se valent. Les solutions acceptables sont celles qu’aura dicté le texte à traduire.
translating --- studybook --- erasing --- word for word --- sociocriticism --- rhythm --- literary field --- materiality of the text --- agrammatical --- triad
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