Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

This volume provides the first ever large-scale comparative treatment of there sentences (there copula NP), reporting the results of a survey of Italo-Romance and Sardinian dialects of Italy. The volume comprises detailed discussions of focus structure, predication and argument realization, the definiteness effects, and the linking from semantics to syntax in there sentences, advancing novel proposals in each case. The testing of influential hypotheses on existential constructions against first-hand dialect evidence leads the book to argue that existential and locative there sentences differ in focus structure and semantics, although their not being predicate focus constructions and the non-canonicality of the predicate—which is typically referential—is reflected in their shared morphosyntactic features. The hypothesis that the pivot is the predicate of the existential construction is adopted in the analysis, although a distinction is drawn between referential and non-referential pivots, which explains variation in pivot behaviour in morphosyntax. The volume also provides the historical background of Romance there sentences, relying on the findings of the analysis of a substantial corpus of early Italo-Romance vernacular texts.

sardinian --- there-sentences --- existential --- role and reference grammar --- locative --- italo-romance --- microvariation --- dialects --- romance

Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

Pourquoi un ouvrage sur le genre ? Pourquoi un de plus ? Comme le fait remarquer Philippe Lejeune dans l’interview figurant dans ce volume, les études sur le genre occupent une place importante dans la recherche anglo-saxonne, qui les conçoit comme un enjeu politique majeur. Il en va autrement en France. Les chercheurs dans le domaine des études anglophones ne peuvent ignorer cette question, ils lisent leurs consœurs et confrères outre-atlantique, s’en inspirent, mais ils font montre d’une at...

identité sexuelle, rôle selon le sexe, étude sur le genre, littérature américaine, littérature de langue anglaise

Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

Throughout West African societies, at times of social crises, postmenopausal women — the Mothers — make a ritual appeal to their innate moral authority. The seat of this power is the female genitalia. Wielding branches or pestles, they strip naked and slap their genitals and bare breasts to curse and expel the forces of evil. In An Intimate Rebuke Laura S. Grillo draws on fieldwork in Côte d’Ivoire that spans three decades to illustrate how these rituals of Female Genital Power (FGP) constitute religious and political responses to abuses of power. When deployed in secret FGP operates as spiritual warfare against witchcraft; in public it serves as a political activism. During Côte d’Ivoire’s civil wars FGP challenged the immoral forces of both rebels and the state. Grillo shows how the ritual potency of the Mothers’ nudity and the conjuration of their sex embodies a moral power that has been foundational to West African civilization.

Anthropology --- Africa --- Civilization Africa --- Religion Africa --- Politics and Government Postcolonialism --- Africa Ethics, Comparative Sex Role

Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

Au cœur des années 1990, un phénomène intriguant s'est produit : les médias, et singulièrement la télévision, habituellement sourds aux mobilisations « d'exclus », s'en sont subitement emparé, pour s'en détourner ensuite presque complètement. Quelques unes de ces protestations allaient rester dans les mémoires, comme le mouvement des sans-logis de la rue du Dragon à l'hiver 1994-1995, le mouvement des sans-papiers de Saint-Bernard à l'été 1996, le mouvement pétitionnaire contre la loi Debré sur l'immigration début 1997, ou encore le mouvement des chômeurs à l'hiver 1997-1998. À travers le cas des journaux télévisés, cet ouvrage retrace la manière dont les médias français ont rendu compte des mobilisations en faveur des « sans » : sans logement, sans papier, sans emploi. Il comble ce faisant un angle mort de la recherche sociologique française, en exposant ce qui se joue à l'interface du monde des médias et de celui des mouvements sociaux : à quelles conditions, et dans quelle mesure, les rencontres entre journalistes et porte-parole des groupes mobilisés sont-elles possibles ? comment ces causes sont-elles (re)traduites sous l'effet de leur médiatisation ? Il s'appuie pour ce faire sur un travail d'enquête fondé sur de l'exploitation de sources d'archives de l'INA et d'entretiens réalisés auprès des principales figures du mouvement des « sans » et des journalistes de TF1 et France 2. En confrontant plusieurs cas d'études, il propose de décrypter et restituer les contraintes, opportunités et raisons d'agir des acteurs, en les replaçant dans le cadre de mécanismes plus globaux par lesquels un emballement médiatique pour ces causes peut s'amorcer et durer, en raison des « affaires » ou des « controverses » auxquelles les mobilisations donnent lieu au sein de l'arène publique. Au-delà est mis en perspective l'impact des transformations contemporaines du référentiel de la « nouvelle question sociale », qui offrent des opportunités variables aux groupes cherchant à politiser « l'exclusion » via un usage offensif de la rhétorique des droits sociaux. Cette analyse montre la nécessité de relativiser la thèse, principalement nord-américaine, qui tend à réifier la position conservatrice des médias grand public, indifférents aux mobilisations contestataires hors-système, portées par des groupes qui seraient forcément handicapés par leur faibles ressources, leur radicalité politique ou la dimension contre-culturelle de leurs demandes.

rôle des médias --- médias --- mobilisation sociale et politique --- journalisme --- exclusion sociale

Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

Justice de proximité, police de proximité, démocratie de proximité... Le pouvoir politique est aujourd'hui avant tout soucieux de paraître proche des citoyens. Le mot proximité est sans cesse utilisé par les élus. Il n'en a pas toujours été ainsi. La proximité s'est imposée, en quelques années, comme une catégorie d'évidence. Nouvelle idéologie ? Nouveau référentiel d'action publique ? Nouveau mythe propre aux sociétés post-modernes ? Mais de quoi parle-t-on exactement ? Proximité géographiqu...

proximité, rôle des médias, communication en politique, campagne électorale, démocratie participative, démocratie, sociologie politique, XXIe siècle, XXe siècle